Série: Arroseur et arrosé

« […] Un cantonnier dans l’exercice de ses fonctions, qui, étant victime de la mutinerie d’un gamin, lui administre une sévère correction. » (Lyon républicain, Lyon, 11 juin 1895).

« […] Le jardinier qui arrose son jardin avec une lance, suivant la mode actuelle, et qui est interrompu dans son travail par un loustic qui pose le pied sur le tuyau d’arrivée ; […]. » (Sosthène Pector, Bulletin de la Société française de photographie, Paris, 2e série, Tome XI, n° 16, 1895, p. 396).

« […] La scène de l’arroseur municipal, taquiné par un gamin est une des plus curieuses, […] » (L’Univers illustré, Paris, 4 janvier 1896).

« Comment ne pas rire avec conviction à la scène d’un arroseur trempé et décoiffé, en examinant son tuyau, qu’un gamin écrase du pied. » (Alphonse Seyewetz, in Lyon républicain, Lyon, 26 janvier 1896).

« Aux scènes pittoresques succèdent les scènes amusantes, telle, par exemple, celle du jardinier et de l’enfant : un brave horticulteur arrose consciencieusement ses massifs à l’aide d’une lance fixée à l’extrémité d’un long tuyau de caoutchouc qui serpente sur le sol. On le voit s’avancer en dandinant d’un sabot sur l’autre et répandre la pluie artificielle sur les plantes vigoureuses et touffues. Tout à coup, derrière lui, un jeune espiègle s’avance à pas de loup ; celui-ci pose délicatement le pied sur le boyau d’alimentation et le jet s’arrête doucement, à la grande stupéfaction de l’arroseur qui n’a rien entendu. Le jardinier regarde sa lance, l’essuie de son mieux, l’essuie de nouveau, mais bien inutilement, et se décide enfin à souffler dedans afin de chasser le corps étranger qui doit vraisemblablement en obstruer l’orifice. À ce moment impatiemment attendu, le gamin lève le pied, et dans l’instant l’arroseur reçoit en plein visage un jet formidable qui l’asperge, l’inonde, et projette au loin son chapeau de paille. Fureur du mystifié qui se retourne et voit son bourreau s’enfuir en riant aux éclats ! … Poursuite du coupable à travers les carrés du potager, arrestation mouvementée du “ polisson ”, que sa victime saisit brutalement par l’oreille et ramène vers la lance d’arrosage pour le doucher à son tour. Lutte désespérée du garnement et de son maître, bientôt suivie d’une correction reçue non sans protestation par “ le petit misérable ”. Enfin mise en liberté de l’espiègle, dûment payé pour sa farce, et reprise du travail par le brave jardinier, visiblement consolé de sa mésaventure et rassuré pour l’avenir. “ Car le monstre n’y reviendra pas de sitôt ! ”. » (Léon Dumuys, “ Une visite au cinématographe ”, Le Patriote Orléanais, Orléans, 24/25 février 1896).

« […] la scène comique de l’arrosage que représente les affiches posées sur nos murs. » (La Charente, Angoulême, 10 août 1896).

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(99,3) Arroseur et arrosé, [III]

“Un gamin vient appuyer le pied sur le tuyau avec lequel un jardinier arrose son jardin. Ce dernier, surpris de

(99,1) Arroseur et arrosé, [I]

“Un gamin vient appuyer le pied sur le tuyau avec lequel un jardinier arrose son jardin. Ce dernier, surpris de

(99,2) Arroseur et arrosé, [II]

“Un gamin vient appuyer le pied sur le tuyau avec lequel un jardinier arrose son jardin. Ce dernier, surpris de