“Les soldats amènent les chevaux à l’abreuvoir.”
« L’emploi du temps et la vie de la cavalerie. À l’abreuvoir. — On sait qu’il est mauvais qu’un cheval boive quand il a chaud, quand il est à jeun ou que son estomac est plein. Il faut toujours couper l’eau c’est-à-dire empêcher de boire d’un seul trait, surtout si l’eau est froide. On remplit les auges une heure à l’avance. On fait boire deux fois par jour en été et une fois en hiver. » (Almanach du drapeau 1900, s.l., réédité par Les Éditions 1900, 1988, p. 90).
« L’abreuvoir présente un vif intérêt. Une cour de caserne. Un maréchal des logis s’agite ; les hommes amènent les chevaux. Ici l’on n’aperçoit plus cette sorte de trémolo qui se produit dans d’autres tableaux. L’illusion est parfaite. » (Le Mémorial des Vosges, Épinal, 25 juin 1896).
Il existe une autre vue non cataloguée représentant la même action dans un lieu différent.
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